Le langage de programmation R peut être utile pour réaliser rapidement des proto de cartes et visualiser facilement des données.
Créer une carte choroplète se fait ainsi assez simplement et on va le voir tout de suite. Premier conseil si vous débutez avec R, je vous conseille d’installer RStudio, un IDE spécialement conçu pour R, bien fait et pratique.
Folium combine Python et la librairie javascript Leaflet adaptée à la conception de carte interactive.
Prérequis :
Avant de quitter Libé j’ai travaillé sur un projet qui — en tant qu’amateur de rugby — m’a bien motivé : une visualisation de l’évolution de la morphologie des rugbymen entre la Coupe du monde 1995 et celle de 2015. Le résultat est vraiment chouette et ça permet de mettre une image sur une réalité, les rugbymen sont devenus des brutes.
Évidemment ce n’est pas moi qui ai réalisé toute la partie développement. Mais tout ça a été codé grâce à D3.js et vu que ça faisait longtemps que je n’avais pas fait quelque chose avec cette librairie, j’ai voulu réitérer l’expérience.
Post en forme de pense-bête qui j’imagine pourra servir à d’autres, tant il a été long pour moi de trouver une solution simple et rapide à mettre en place. On va donc parler de géocodage et même de reverse geocoding tant qu’on y est.
Il arrive souvent qu’après avoir scrapé un site, ou je ne sais quoi encore, on se retrouve avec des adresses postales du type 6 rue de Lyon, St-Servan, Gironde que l’on aimerait bien visualiser sur une carte. Mais pour ça, la plupart des outils de cartographie demande des coordonnées GPS et pas simplement une adresse. Alors quand il y en a une ça va mais quand on arrive à plusieurs centaines voir plusieurs milliers, ça pose problème.
Après plusieurs mois passés à la rédaction web de Libération au sein de la cellule Six Plus, j’avais envie de m’amuser un peu — bon deux heures en gros — sur une manière de rendre un peu plus joli quelque chose de pas franchement original : les fichiers qui recensent les arbres de Paris.
L’idée a ressurgi en voyant le travail de María Checa, une étudiante espagnole qui travaille également chez CartoDB, sur les arbres de Barcelone. Le rendu de l’ensemble avec un fond de carte sombre fonctionne assez bien.
Tout porte à croire qu’elles sont de retour. Et oui les newsletters qu’on croyait reléguées au rang de spam dans nos boîtes de réception seraient en passe de retrouver la cote en 2015. C’est en tout cas ce que prétend Alice Antheaume dans son dernier billet de blog tout comme Katie Zhu qui s’exprime sur le site du Nieman Lab ou encore Mathew Ingram sur Gigaom.
Cela fait maintenant plus de six mois que moi aussi je me surprends à suivre de plus en plus l’actualité via ce type de canal. Et une discussion récente avec un ami m’a donné envie de partager ma sélection. Bien entendu elle est orientée autour de l’évolution de l’écosystème médiatique, des nouvelles technologies et des mutations du journalisme, mais l’actualité y a aussi sa place.
On m’a demandé à plusieurs reprises si mes projets étaient dispo sur GitHub. Jusqu’à présent ce n’était pas le cas, un peu par paresse mais aussi parce que je ne m’étais jamais plongé dans le système de publication sur GitHub. Même si ça fait plus de un an que je suis inscrit…
Et bien c’est maintenant chose faite et vous pouvez retrouver une partie de mes projets publiés ou non sur ma page perso. N’hésitez pas à venir critiquer mon code mal indenté et pas du tout optimisé !
J’ai intégré pendant quatre mois l’équipe du site d’information Slate. Jusqu’à août dernier j’ai donc eu l’occasion de m’amuser sur différents projets et utiliser un bon nombre d’outils sympa pour créer des infographies et des visualisations venant illustrer mes articles et ceux d’autres journalistes de la rédaction.
Mon année de Licence pro de Journalisme web (2012-2013) était basée sur un projet de création d’un web-documentaire. Durant toute l’année, j’ai donc travaillé avec un groupe de 7 à 9 personnes sur sa réalisation. Le web-documentaire est dorénavant en ligne et vous pouvez le retrouver un peu plus bas en cliquant sur l’image.
Pour moi cela a surtout était l’occasion de me confronter à un vrai projet d’envergure, supervisé par l’équipe pédagogique de l’IUT de Lannion. Brainstorming, conf’ de rédac’ et comités de rédaction dirigés par le corps enseignant, on a été soumis à rude épreuve.
Julien Jégo 